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Delémont

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Ne doit pas être confondu avec Deûlémont.

Delémont
Delémont
La ville vue depuis Le Béridier.
Blason de Delémont
Armoiries
Administration
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Canton Drapeau du canton du Jura Jura
District Delémont
Localité(s) Bellerive, Les Rondez
Communes limitrophes Develier, Courtételle, Rossemaison, Courrendlin, Courroux, Soyhières, Mettembert, Bourrignon.
Maire Damien Chappuis (PCSI)
NPA 2800
No OFS 6711
Démographie
Gentilé Delémontain
Population
permanente
12 636 hab. (31 décembre 2022)
Densité 575 hab./km2
Langue Français
Géographie
Coordonnées 47° 22′ 00″ nord, 7° 21′ 00″ est
Altitude 414 m
Superficie 21,99 km2
Localisation
Carte de la commune
 
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Voir sur la carte topographique de Suisse
Delémont
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Voir sur la carte administrative de Suisse
Delémont
Géolocalisation sur la carte : canton du Jura
Voir sur la carte administrative du canton du Jura
Delémont
Liens
Site web www.delemont.ch
Sources
Référence population suisse[1]
Référence superficie suisse[2]
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Delémont (en allemand : Delsberg) est le chef-lieu de la République et Canton du Jura et du district homonyme, en Suisse, située au centre du quadrilatère formé par les villes proches de Bâle (40 km), Bienne (50 km), La Chaux-de-Fonds (~ 60 km) et Belfort (65 km). Elle se trouve à 90 km de Berne, 120 km de Zurich et 200 km de Genève. Delémont - avec ses 13 493 habitants le , est desservie par le rail et par l'autoroute A16 « Transjurane » (tronçon de la Route européenne 27).

La Vieille ville, centre historique bien conservé et restauré, a vu se développer tout autour le quartier commercial de la gare, plusieurs zones d'activités, des zones résidentielles et des espaces de détente et de sport.

On y trouve le siège du Parlement et du Gouvernement de la République et Canton du Jura.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Delémont s'étend sur 21,99 km2[2]. Lors du relevé de 2013-2018, les surfaces d'habitations et d'infrastructures représentaient 21,6 % de sa superficie, les surfaces agricoles 35,2 %, les surfaces boisées 42,6 % et les surfaces improductives 0,8 %[3]. Delémont se situe à 40 kilomètres de Bâle et à 50 kilomètres de Bienne[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Courrendlin, Courroux, Soyhières, Mettembert, Bourrignon, Develier, Courtételle et Rossemaison.

Carte
Les limites communales de Delémont et celles de ses communes adjacentes.

Climat[modifier | modifier le code]

Selon la classification de Köppen, le climat de Delémont est un climat océanique (Cfb).

Statistiques 1991-2020 de la station Delémont (altitude : 439 m ; 47° 21′ 06″ N, 7° 20′ 58″ E)
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −2,4 −2,1 0,4 3,2 7,5 11,1 12,6 12,5 9,2 6 1,6 −1,5 4,8
Température moyenne (°C) 0,9 1,9 5,4 9,1 13,2 16,9 18,7 18,2 14,1 10 4,8 1,7 9,6
Température maximale moyenne (°C) 4,5 6,7 11,2 15,1 19 22,8 24,9 24,6 20 15,2 8,8 5,1 14,8
Nombre de jours avec gel 20,6 19,1 15,1 5,7 0,3 0 0 0 0,1 2,2 10,7 18,9 92,7
Nombre de jours avec température maximale ≤ 0 °C 5,9 3,1 0,5 0 0 0 0 0 0 0 0,6 3,6 13,7
Nombre de jours avec température maximale ≥ 25 °C 0 0 0 0,7 4 10,8 16,1 14,6 4,6 0,4 0 0 51,2
Nombre de jours avec température maximale ≥ 30 °C 0 0 0 0 0,3 2,4 4,1 4,3 0,2 0 0 0 11,3
Précipitations (mm) 52 50 52 65 93 91 94 96 72 73 69 68 876
dont neige (cm) 8 9 5 1 0 0 0 0 0 0 2 8 33
Nombre de jours avec précipitations 10 9,3 9,1 9,4 12,4 11,1 10,7 10,4 8,8 10,7 10,4 11,1 123,4
Humidité relative (%) 86 81 75 72 75 74 72 74 79 84 87 87 79
Nombre de jours avec neige 2,8 2,8 1,3 0,4 0 0 0 0 0 0,1 0,8 2,5 10,7
Source : MétéoSuisse
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,5
−2,4
52
 
 
 
6,7
−2,1
50
 
 
 
11,2
0,4
52
 
 
 
15,1
3,2
65
 
 
 
19
7,5
93
 
 
 
22,8
11,1
91
 
 
 
24,9
12,6
94
 
 
 
24,6
12,5
96
 
 
 
20
9,2
72
 
 
 
15,2
6
73
 
 
 
8,8
1,6
69
 
 
 
5,1
−1,5
68
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Transports[modifier | modifier le code]

Delémont dispose d'une importante gare CFF avec les dessertes ferroviaires de et pour Porrentruy, Delle, Bienne, Genève/Lausanne et Bâle. Depuis , avec la réouverture de la ligne de Delle à Belfort (France), Delémont est directement en correspondance avec le réseau à grande vitesse européen via la branche est de la LGV Rhin-Rhône.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme se compose vraisemblablement du nom de personne germanique « Tallo, Tello » et du substantif gallo-roman « mont ». Son nom est Delsberg en allemand[5].

La localité serait citée pour la première fois (in figo Delomonte) dans un acte de 736 ; on trouve Laimunt en 1181 et Deleymunt en 1225 ; le nom allemand - Telsperg - apparaît dès le XIIe siècle, comme patronyme de la famille noble qui tiendra le château du Vorbourg au nord-est de la ville[6].

Histoire[modifier | modifier le code]

Photo aérienne par Walter Mittelholzer (1919)

Dans la région de Delémont, les premières traces de peuplement remontent à l'âge du bronze (Roc de Courroux). La région a été peuplée durant la période gallo-romaine (trace d'un habitat gallo-romain important à la Communance). Dès les VIe et VIIe siècles des forgerons auraient travaillé le minerai de fer dans la vallée de Delémont, comme l'attestent les bas fourneaux de Boécourt.

Le noyau urbain primitif, situé dans la partie sud de la vieille ville actuelle, s'est implanté - probablement vers 1200 - sur un contrefort, proche du confluent de la Sorne et de la Birse et d'un croisement de routes.

En 1289, la charte de franchises octroyée par l'évêque de Bâle Pierre Reich de Reichenstein fonde l'autonomie communale et définit le cadre urbain et politique pour plusieurs siècles. En 1815, lors du Congrès de Vienne, une grande partie de l'ancien évêché de Bâle est octroyée au canton de Berne. C'est ainsi que Delémont devint suisse.

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

En 1875, la construction de la gare donne une impulsion décisive au développement économique et démographique de la cité, qui déborde de l'enceinte médiévale et devient la plus grande ville du Jura. Le vote d'autodétermination du peuple jurassien en 1974 crée la République et Canton du Jura, dont Delémont devient le chef-lieu dès le .

Politique[modifier | modifier le code]

Les autorités municipales sont constituées de deux pouvoirs : le législatif et l’exécutif.

Le législatif, nommé Conseil de Ville, se compose de 41 membres élus tous les quatre ans selon le système proportionnel. Le Conseil de ville exerce la surveillance de l'ensemble de l'administration communale et prend les mesures nécessaires à cet effet.

Le législatif a été créé en 1972 en remplacement de l'assemblée communale de moins en moins fréquentée. Le législatif comptait 51 membres, jusqu'à l'élection de où le législatif a été réduit à 41 membres.

L'exécutif, appelé Conseil communal, est composé de quatre conseillers et du Maire, qui en est le président. Le vice-maire (adjoint) est élu par le Conseil communal pour une durée d'une année, par rotation. Les membres du Conseil communal et le Maire sont élus pour quatre ans selon le système majoritaire à deux tours pour le maire et selon le système proportionnel pour les conseillers communaux. La fonction de maire représente un taux d'occupation évalué à quatre-vingts pour-cent, celle de conseiller à quarante pour-cent. L'exécutif exerce dans l'administration tous les pouvoirs qui ne sont pas attribués à un autre organe par des prescriptions de droit fédéral, cantonal ou communal. Il représente la Commune municipale envers les tiers.

Maires successifs depuis 1815[modifier | modifier le code]

  • Jacques Moeschleur, 1804[7]
  • Antoine de Grandvillers, 1814-1830
  • Alexis Imhof, 1831-1833
  • Charles de Mahler, 1833-1836
  • Louis Fellrath, 1836-1838
  • François de Mahler, 1838-1848
  • François Desbœufs, 1848-1854
  • Joseph Pallain, 1854-1858
  • Joseph Feune, 1858-1861
  • Olivier Seuret, 1861
  • Emile Pallain, 1861-1864
  • Joseph Pallain, 1864-1866
  • Victor Helg, 1866-1880
  • Emile Boéchat, 1881-1889
  • François Fleury, 1889-1895
  • Victor Helg, 1895-1904
  • Jules Eckert, 1904-1905
  • Oscar Froidevaux, 1905-1909
  • Emile Zurbrugg, 1909-1912
  • Serge Gobat, 1912-1913
  • Emile Meier, 1913-1918
  • Joseph Amgwerd, 1918-1919
  • Serge Gobat, 1919-1922
  • Alexandre Hof, 1922-1928
  • Gaston Girod, 1929-1935, libéral
  • Gustave Riat, 1935-1943, libéral-radical
  • Louis Lovis, 1943-1952, conservateur
  • Henri Parrat, 1953-1960, PS
  • Georges Scherrer, 1960-1980, PS
  • Jacques Stadelmann, 1981-1993, PS
  • Pierre-Alain Gentil, 1994-2004, PS
  • Gilles Froidevaux, 2005-2008, PS
  • Pierre Kohler, 2009-2015, PDC-JDC
  • Damien Chappuis, 2015 -, PCSI

Présidents successifs du Conseil de Ville (législatif) depuis sa création en 1973[modifier | modifier le code]

  • James Choulat (1973), PCSI
  • Jean-Louis Wernli (1974), PLR
  • Marcel Turberg (1975), PS
  • Francis Theurillat (1976), PCSI
  • Valentine Friedli (1977), PS
  • Marc Vuilleumier (1978), PLR
  • Adrien Schaffner (1979), PCSI
  • Michel Steullet (1980), PS
  • Bruno Henz (1981), PLR
  • Jean-Paul Miserez (1982), PCSI
  • Renée Lachat (1983), PDC
  • André Richon (1984), PS
  • Edmond Bourquard (1985), PLR
  • Jean Keller (1986), PCSI
  • Josiane Etique (1987), POP+P
  • Marc Meury (1988), PS
  • André Henzelin (1989), PLR
  • Pierre Steger (1990), PCSI
  • Maurice Rais (1991), id
  • Francis Girardin (1992), PS
  • Jean-Marc Christe (1993), PDC
  • Laurent Helg (1994), PLR
  • Damien Christe (1995), PCSI
  • Didier Nicoulin (1996), CS
  • Pierre Ackermann (1997), US
  • Françoise Collarin (1998), PDC-JDC
  • Christiane Hennet (1999), PLR
  • Gérard Wicht (2000), PCSI
  • Alain Voirol (2001), id
  • Marianne Rebetez (2002), PS
  • Michel Rion (2003), PDC-JDC
  • Françoise Doriot (2004), PLR
  • Francesco Prudente (2005), PCSI
  • Giuseppe Natale (2006), CS-POP
  • Michel Thentz et Pierre Tschopp (2007), PS
  • Sylvianne Mertenat (2008), PDC-JDC
  • Romain Seuret (2009), PLR
  • David Asséo (2010), CS-POP-Verts
  • Paul Fasel (2011), PCSI
  • Sébastien Lapaire (2012), PS
  • Anne Froidevaux (2013), PDC
  • Pierre Chételat (2014), PLR
  • Jeanne Beuret (2015), CS-POP-Verts
  • Renaud Ludwig (2016), PCSI
  • Jude Schindelholz (2017), PS
  • Olivier Montavon (2018), PDC
  • Christophe Günter (2019), PLR
  • Rémy Meury (2020), Alternative de gauche
  • Florine Jardin (2021), PCSI
  • Gaëlle Frossard (2022), PS
  • Khelaf Kerkour (2023), Le Centre
  • Pascal Domont (2024), PLR et PVL

Population et société[modifier | modifier le code]

Gentilé[modifier | modifier le code]

Les habitants de la localité sont appelés Delémontains-Delémontaines et Trissous-Trissoutes à l'époque de Carnaval, où Delémont devient Trissville, d'après une légende mettant en scène un Prince-Évêque parti à la chasse au sanglier. Cette légende illustre les armoiries de Laufon, de Delémont et de Porrentruy, villes de la Principauté de Bâle.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population[modifier | modifier le code]

Delémont compte 12 636 habitants au 31 décembre 2022 pour une densité de population de 575 hab/km2[1]. Sur la période 2010-2019, sa population a augmenté de 8,0 % (canton : 5,1 % ; Suisse : 9,4 %)[2]. Au , l’agglomération de Delémont compte 30 792 habitants[1].

Évolution de la population de Delémont entre 1850 et 2020[8],[1]

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2020, le taux de personnes de moins de 30 ans s'élève à 32,8 %, similaire à la valeur cantonale (33 %). Le taux de personnes de plus de 60 ans est quant à lui de 27,4 %, alors qu'il est de 28,1 % au niveau cantonal[9].

La même année, la commune compte 6 152 hommes pour 6 466 femmes, soit un taux de 48,7 % d'hommes, inférieur à celui du canton (49,4 %)[9].

Pyramide des âges de Delémont en 2020 (%)[9]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ans ou +
2,0 
7,9 
75 à 89 ans
11,6 
15,5 
60 à 74 ans
17,1 
21,2 
45 à 59 ans
21,1 
19,8 
30 à 44 ans
17,7 
19,3 
15 à 29 ans
16,5 
15,7 
- de 14 ans
14,1 
Pyramide des âges dans le canton du Jura en 2020 (%)[9]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ans ou +
1,7 
7,8 
75 à 89 ans
10,1 
17,7 
60 à 74 ans
18,1 
21,1 
45 à 59 ans
21,4 
18,1 
30 à 44 ans
17,3 
18,9 
15 à 29 ans
16,9 
15,7 
- de 14 ans
14,5 

Éducation[modifier | modifier le code]

Enseignement obligatoire[modifier | modifier le code]

Enseignement supérieur et recherche[modifier | modifier le code]

Sport[modifier | modifier le code]

Fondations[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Parmi les plus connues, on note la présence de la société Wenger sur le territoire de la commune.

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Tourisme[modifier | modifier le code]

En 2009, Delémont est désignée Ville du Goût.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine bâti[modifier | modifier le code]

Delémont compte un grand nombre de monuments intéressants.

Aux environs de la vieille ville[modifier | modifier le code]

Quartier de la gare[modifier | modifier le code]

Quartier de Montcroix[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Classés comme biens culturels d'importance nationale dans le canton du Jura[modifier | modifier le code]
Article connexe : Liste des biens culturels d'importance nationale dans le canton du Jura.
Classés comme biens culturels d'importance régionale dans le canton du Jura[modifier | modifier le code]

Musées[modifier | modifier le code]

Evènements[modifier | modifier le code]

Depuis 2015, la ville abrite le festival de bande dessinée Delémont'BD organisé chaque année mi-juin avec le soutien de la municipalité et d'autres partenaires, médias et entreprises[16].

Personnalités[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Delémont se blasonne « de gueules à la crosse épiscopale de Bâle d'argent sur un mont de six coupeaux du même ».

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Bilan démographique selon le niveau géographique institutionnel » Accès libre, sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
  2. a b et c « Portraits régionaux 2021: chiffres-clés de toutes les communes » Accès libre [xls], sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
  3. Office fédéral de la statistique, « Statistique de la superficie standard - Communes selon 4 domaines principaux » Accès libre [xls], sur www.bfs.admin.ch, (consulté le ).
  4. Vincent Bourquin, « Le duel des villes: Porrentruy-Delémont, la capitale des princes-évêques face à celle du Jura », Le Temps,‎ , p. 18-19 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  5. Nicolas Pépin et Andres Kristol, « Delémont » Accès libre, sur toponymes.ch (consulté le ).
  6. Site de la ville de Delémont, historique de François Kohler.
  7. « registre décès Rougemont le Château 1803-1823 page 212/490 ».
  8. « Évolution de la population des communes 1850-2000 » Accès libre, sur Office fédéral de la statistique, (consulté le ).
  9. a b c et d « Population résidante permanente et non permanente selon les niveaux géographiques institutionnels, la nationalité (catégorie), le lieu de naissance, le sexe et la classe d'âge » Accès libre, sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
  10. SHAS 2011, p. 20
  11. SHAS 2011, p. 19
  12. a b c d e f et g SHAS 2011, p. 22
  13. a b et c SHAS 2011, p. 21
  14. a b c d e et f SHAS 2011, p. 23
  15. SHAS 2011, p. 24
  16. « 2015 Première édition : Rencontres suisses et internationales de la bande dessinée », sur delemontbd.ch.
v · m
v · m
Chefs-lieux des cantons de Suisse
v · m
Communes ayant le statut de ville, selon la définition statistique de 2015
Plus de 100 000 habitants
De 50 000 à 100 000 habitants
De 20 000 à 50 000 habitants
De 15 000 à 20 000 habitants
De 10 000 à 15 000 habitants
Moins de 10 000 habitants
Gras : Chef-lieu de canton

U : Membres de l'union des villes suisses sans pour autant être des villes d'un point de vue statistique

C : Communes de plus de 10 000 habitants étant des villes selon l'ancienne définition de 1882, mais pas selon la définition actuelle