Cet article est indexé par les projets Royaume de France, Histoire et Politique française.

Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.

Évaluation de l’article « Charles d'Albert »

Avancement	Importance	pour le projet
Bon début	Moyenne		Royaume de France (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues)
Faible		Histoire (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues)
À évaluer		Politique française (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues)

Cet article ne comporte pas de liste de tâches suggérées. Vous pouvez saisir une liste de tâches à accomplir (par exemple sous forme d'une liste à puces), puis sauvegarder. Vous pouvez aussi consulter la page d'aide.

Je ne pense pas que ce type de jugement de valeur ait sa place dans un texte à caractère encyclopédique:

"donnant son sang pour frayer la route au succès d'un autre.

Il a donc été, dans la mesure de son génie et des circonstances, le restaurateur de la politique d'Henri IV et le prédécesseur inégal et incomplet de Richelieu."

Je propose plusieurs modifications:

Charles d'Albert de Luynes n'est pas mort au combat mais de la scarlatine, "fièvre pourpre" à l'époque.

Sa politique de "soutien à l'indépendance italienne" se résume à approuver l'envoi d'une petite armée commandée par le Marquis de Coeuvres dans la Valteline pour y restaurer l'autorité des Suisses Grisons. La succession de Mantoue est traitée plus tard par Louis XIII et Richelieu.

Le siège de Montauban, comme cela n'est pas mentionné, est un échec imputable à Luynes pour la raison qu'il comptait sur un officier protestant pour ouvrir les portes de la place et ensuite parce qu'il n'a pas suivi les conseils du duc de Lesdiguières de bombarder les faubourgs de la ville. Ce siège fait suite à celui de la Saint-Jean d'Angély mené physiquement par Louis XIII qui lui est un succès.

Enfin, en 1618, lors de la défenestration de Pragues, il fait partie des conseillers qui préconisent l'envoi de troupes à l'empereur germanique pour mater la rebéllion protestante, ce qui est l'exact contraire de la politique menée par Henri IV. Louis XIII décide finalement d'envoyer le duc d'Angoulême comme ambassadeur pour témoigner son soutien modéré à l'empereur et éviter un embrasement du conflit.Utilisateur:Diego.jimenez.fr